Nous savons que les descendants d'Alphonsine Cantin ont eut un impact important dans certaines facettes de la région de Hearst. Certains de ses petits-enfants ont eu un impact significatif dans la région de Hearst. Mais un de ses petits-fils s'est démarqué d'une façon considérable, surtout dans le secteur journalier, culturel, et historique de la région.
Il sagit, naturellement, d'Omer Cantin.
Note: Omer n'a pas été consulté pour lorsque j'ai écrit cet article; par contre, après sa parution, je lui ai demandé de révisé, pour m'assurer que l'information était véridique. Par la suite, il m'a précisé quelques détails, que j'ai corrigé...
Omer a terminé ses études, en histoire, en 1972. Suivant ses études, en 1974-75, il a travaillé au Centre national des Arts à Ottawa (principallement dans le secteur des relations publiques). Il est revenu à Hearst en 1975.
Il s'est impliqué au lancement d'un journal local(!), a quitté la région pour Québec (août 1983 à août 1985), pour ensuite revenir à Hearst, au Lac Ste-Thérèse, pour s'occuper de l'épicerie Cantin.
Lentement mais surement, Omer s'est impliqué peu à peu dans diverse organismes. 45 ans plus tard, nous pouvons affirmé qu'Omer s'est démarqué dans au moins 5 "projets" distinct. Certe, il y en a d'autres. Mais nous croyons que ces cinq projets reflètent le travaille d'Omer, et l'impact qu'ils on eut, qu'ils ont présentement, et qu'ils pourraient avoir dans la région:
Sans lui, directement ET indirectement, mes articles sur Facebook/#HistoriqueCantin et plusieurs de mes pages sur ce site ne seraient pas aussi riche d'information. Ses réalisations nous ont permis, et nous permettent encore, de sauvegarder une partie de notre patrimoine nord ontarien. Je dois aussi avouer que nos familles ont grandi à 800 mètres l'une de l'autre. Il était le plus vieux de sa famille, alors que j'était un des plus jeunes de la mienne. Il était donc "un des vieux", alors que j'était "un des jeunes"! Certe, il n'est pas homme politique par excellence. Il ne "fait pas les nouvelles". Il n'est pas propriétaire des plus grosses entreprises de la région. Son impact dans la région de Hearst est difficile à mesurer. Ce n'est pas un impact économique ou politique. C'est un impacte social et culturel. Il travaille d'une façon tranquille, silentieuse. De sa façon à lui, à l'arrière-plan. Il enrichi la population. Pas avec des dollars, mes avec des connaissances. Malgré cela, il se fait remarquer, de sa façon à lui. Un exemple est un article de Sébastien Pierroz (spierroz@tfo.org) sur TFO, parut en 2020: Omer Cantin, l'aventurier de Hearst (la version originale de cette article est sur le site web de TFO). Je crois que ça résume bien certaines des réalisation d'Omer, qui ont eu un impact significatif sur la vie socio-culturel de bien des gens de la région de Hearst. Explorons brièvement les cinq facettes énoncées ci-haut, pour démontrer l'impact d'Omer sur la grande région de Hearst. Il faut se souvenir que c'est davantage un impact social et culturel, plutot qu'économique. Commencons par le "projet" qui a eu, de mon avis, le plus d'impact dans la région de Hearst: le journal Le Nord. |
Qui de la région n'a jamais feuilleté un page du journal Le Nord?
Son journal, Le Nord, a touché plus de personnes à Hearst que tout autre de ses projets. Ce journal a été LA source de nouvelles de la région pour plusieurs décénies. Le Nord n'affichait pas seulement les nouvelles régionales et ceux du sport local, mais a encouragé plusieurs des auteurs locaux (qui n'a pas lu "La vengeance de l'orignal", par Doric Germain, dans les pages de Le Nord?), et a encouragé les résidents à embrasser leur histoire (une partie du contenu des livres "Gens de chez nous" a été publié dans le journal avant d'être relié en livre).
Mais l'histoire du Le Nord n'a pas été facile.
Aujourd'hui-même, sa survit n'est pas assurée.
Retournons au début. En 1975, la graine pour la création d'un journal francophone à Hearst est semée par Paul Tanguay et Raymond Tremblay. Une équipe de volontaire comprenant Gilles Camiré, Omer Cantin, Joseph Dubé, Laurent Guidon, Henri Leclerc, Marcel Leclerc, ainsi que Paul Tanguay et Raymond Tremblay, travaillent ensemble pour vendre des actions, pour amasser assez d'argent pour partir le journal (je me souviens quand ils sont venus chez nous pour vendre des actions à mon père). La campagne a réussi, puisque le mercredi 24 mars 1976, la première copie du journal est distribuée dans la région de Hearst. Son équipe est composé d'Omer Cantin, journaliste, de Paul Tanguay, rédacteur en chef et publiciste, de Louise Tanguay, responsalbe de la mise en page, et de Gilles Camiré, responsable de l'administration.
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Nous voyons qu'au tout début, même s'il n'était pas en charge, Omer était impliqué dans le journal, et y travaillait comme journaliste dès son lancement. Pendant ses premières années le journal était un organisme communautaire, avec un conseil d'administration, composé de gens d'affaire de la place (Roland Lacroix, marié à Denise Pominville, a fait parti de ce conseil d'administration; voir HistoriquePominville!). En 1988, Omer Cantin, avec Raymond Alary et Louis Corbeil, prennent contrôle des actions. Cinq ans plus tard, en 1993, Omer Cantin en devient propriétaire, jusqu'en 2016 quand le journal est vendu au groupe Les médias de l'épinette noire inc. Ces information nous viennent du Centre d'archives de la Grande Zone argileuse, au http://www.uhearst.ca/archives/index.php/journal-le-nord. De plus le Centre d'archives de la Grande Zone argileuse possède une collection impressionante des éditions du journal Le Nord. En voici sa description: La collection contient 60 volumes reliés ainsi que six boîtes de journaux. De 1976 à 2009, les journaux ont été reliés. Depuis 2010, les journaux sont préservés individuellement. Le contenu du journal est répertorié de la première parution en 1976 jusqu'en 2012. Pour la période allant de 1976 à 1992, il existe deux index format papier. Ces index sont disponibles au Centre d'archives de la Grande Zone argileuse et à labibliothèque Maurice-Saulnier. Un index numérique (FileMaker) couvrant la période allant de 1993 à 2012, est disponible à l'adresse suivante: http://www.uhearst.ca/base-de-donnees-le-nord. Lesjournaux sont accessibles intégralement en format numérique depuis 2005, dans la section des bases de données du site de la bibliothèque Maurice-Saulnier de l'Université de Hearst. Toutefois, les articles ne sont pas indexés. Une collection incomplète des cahiers spéciaux publiés par le journal Le Nord, existe également. On y retrouve des cahiers publiés entre 1976 et 2015. L'archive des éditions numérique du journal sont disponible au http://www.uhearst.ca/journal-le-nord.
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Nous avons une photo du la première édition du journal Lenord, celui du mercredi 24 mars, 1976. Nous avons aussi une photo du permier éditorial du journal.
Omer a été propriétaire du journal Le Nord de 1993 à 2016, donc pour 23 ans. De plus, il faisait partie de l'équipe qui a travaillée pour mettre le journal en place, il faisait partie de la première équipe du journal, il en est devenue actionaire principale (avec Raymond Alary et Louis Corbeil), pour ensuite en devenir propriétaire à part entière. Nous pouvons dire que, de 1976 à 2016, pour 40 ans, Omer Cantin a façonné le journal Le Nord. Grâce à Omer, la population régionale pouvait non seulement lire les nouvelles locales, mais elle s'enrichissait des diverses rubriques relié à la vie socio-culturelle locale. L'impacte socio-culturel du journal au niveau régional, pendant les 45 années depuis sa création est immense. En grande partie, nous avons Omer Cantin à remercier pour ceci. En 2022, le journal appartien à Les Médias de l'épinette noire. Il est disponible, en ligne, au https://lejournallenord.com. Ce même site contient les publications depuis le 1 janvier 2021 jusqu'à aujourd'hui (2023).
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En 1988, alors qu'Omer prenait contrôle des actions du journal avec Raymond Alary et Louis Corbeil, il fonde la librairie Le Nord. https://www.alq.qc.ca/librairies/lenordalq/ a une bonne description de la librairie, écrite circa 2010, que j'ai abrégée: Fondée en 1988 par Omer Cantin, la Librairie Le Nord sise au 813, rue George à Hearst a connu des débuts plutôt modestes. Logée pendant quelques années dans un petit coin des locaux utilisés par le journal Le Nord au 905, rue George, elle est vite devenue la référence en matière de produits culturels francophones tels que livres et musique francophone pour tout le Nord de l'Ontario. Neuf ans après sa fondation, Omer Cantin voit la croissance de sa librairie partir en accélérer. Les francophones des quatre coins du Nord de l'Ontario font appel aux services de la Librairie Le Nord pour leurs besoins en produits francophone. En 1997, comme l'espace alloué par le journal Le Nord est nettement insuffisant face à ses besoins toujours grandissants, la Librairie Le Nord décide de faire l'acquisition de ses propres locaux. Depuis, elle jouit d'un superficie plus que décente pour l'étalage des produits qu'elle offre. Sa spécialité est sans contredit le livre mais aussi de diffuser les produits des artistes de l'Ontario français qu'ils soient écrivains, chanteurs, musiciens ou cinéastes tout en réservant une place importante aux meilleurs vendeurs et aux nouveautés de partout ailleurs dans le monde francophone. Forte de ses 22 années d'expérience [NDLR: maintenant 33 ans], la Librairie Le Nord est bien plus qu'un magasin de livres de tout genre. Outre les livres neufs, la Libraire Le Nord accorde une importance aux livres d'occasion anciens et nouveaux. Plusieurs titres sont disponibles sous demandes spéciales dont certains sont très rares ou encore épuisés. Au niveau de la diffusion de musique francophone, la Librairie Le Nord n'a rien à envier à personne. Elle compte un inventaire important de tout ce qui ce produit à l'échelle du Canada français.
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Au fils des années, la Librarie Le Nord n'a pas seulement pas desservie la population francophone de livres, mais a aussi appuyé la vente de livres d'auteurs locaux, tels François Cantin, Doric Germain, ou Andréanne Cantin (oui, trois générations différentes de la famille d'Alphonsine Cantin -- fils, petit-fils, et arrière-petite-fille), mais aussi de livres historique de la région tel la serie "Gens de chez nous", "Témoin de notre histoire" (de la société historique de Hearst), ou Clayton's Kids.
Nous avons une photo de la page couverture de livres de François Cantin, Doric Germain, et Andréanne Cantin, fils, petits-fils, et arrière petite-fille d'Alphonsine Cantin. Certe, sa librarie n'est pas un commerce achalandé comme pourrait l'être Chapters dans les grands centre urbains. Mais elle dessert une population francophone, dans un milieu francophone, pour les francophones. Elle encourage aussi les livres de provenance locale. Omer a anoncé, en décembre 2021, que sa librarie était à vendre, qu'il voulait se concentrer sur une autre de ses passions, La Fondation Omer Cantin. Nous parlerons de La Fondation Omer Cantin un peu plus bas dans cette article. Sa librarie n'est pas fermée. Seulement qu'il a annoncé qu'elle est à vendre. Vous pouvez continuer à y aller faire vos emplètes de livres.
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Au fils des ans, le journal Le Nord a publié plusieurs livres et articles historique dans ses pages. Pour sauvegarder certains de ces articles, Omer a décidé de créer une maison d'édition.
En 1995, Les Editions Cantinales fut fondée. Son premier livre fut "Un gars ben ordinaire", autobiographie de François Cantin (couverture du livre dans la section précédente). Ont suivit un livre sur l'histoire de Kapuskasing, "Une ville issue de la forêt", écrit par Margaret Paterson, mais traduit en français par... Omer Cantin. Omer a traduit un deuxième livre publié par sa maison d'édition: "Pionniers et partenaires de l'Hôpitcal Saint-Paul de Hearst", par Dr. Margaret Arkinstall et Elizabeth Pierce, et un troisième, "La fabuleuse ligne de trappe" de Donald R. Smith. D'autre livres imprimés par Les Éditions Cantinales inclus ceux de la série "Gens de chez nous". Ensuite "Témoins de notre histoire", ouvrage de la Société historique de Hearst et de la région. Et le roman d'Andréanne Cantin, "Ancrée à l'espoir"... En décembre 2022, le Tome 3 de "Gens de chez nous" fut publié. |
Nous avons déjà vu les photos de la page couverture de certains de ces livres, lorsque nous avons parlé de la Librairie Le Nord. Voici maintenant les page couvertures des livres décrivant l'histoire de certains de nos pioniers francophones, publié par les Éditions Cantinales. Johanne Melançon, dans le numéro 103 de septempbre 1999 de "Liaisons", des Editions l'Interligne, écrivait cet article: "Omer Cantin, La force tranquille du pionnier". J'ai sécurisé deux copies (format PDF) de cet article: Cette maison d'édition a donnée un outils à Omer. Elle lui a permit la distribution d'ouvrages d'ici, pour les gens d'ici. En même temps, elle nous a permit, à nous, gens de la région, même si plusieurs d'entre nous n'habitons plus dans la région de Hearst, de garder en nous une partie de notre région...
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Pour suivre le thème des livres d'histoire de la région, nous avons une photo de la page couverture de Clayton's Kids - Pioneer Families of Hearst Public School. Nous savons qu'il n'a pas été publié par les Editions Cantinales, mais il est vendu par la Librairie Le Nord. Nous aurions pu mettre la photo à l'intérieur de la Librairie Le Nord, mais parce que le livre traite de l'historique de la région, nous avons décidés de le mettre avec les livres traitant l'historique de la région. Après tout, les pionniers de Hearst étaient réparties entre les anglophones et les francophones (à noter que la langue maternelle de plusieurs des premiers pionniers de Hearst n'était ni l'anglais ni le français, mais le finlandais, le suédois, le russe, le slovaque, et bien d'autre; arrivé à Hearst ces pionniers ont appris soit l'anglais ou/et le français). Voici donc la page couverture de Clayton's Kids.
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Omer fut membre fondateur de la Société historique de Hearst et de la Région, fondée en 1981.
Cette expérience durera 12 ans, pendant lesquelles plusieurs projets furent entrepris, comme la ceuillette de photo relatant l'histoire de la région.
Celle-ci furent reproduite sur diapositives (il faut regarder le contexte... nous étions dans les années 1980, donc aucune numérisation à porter de la main...).
Un autre projet fut de receuillir des commentaire, de faire connaitre le vécu des pionniers de la région de Hearst. Ces témoingnages furent publié dans le journal Le Nord. Le livre "Témoin de notre histoire" (mentionné ci-haut) est né de ce projet, et fut publié par les Editions Cantinales, et mis disponible à La Librairie Le Nord... Encore du Omer Cantin la-dessous! Vous avez peut-être remarqué que nous avons mentionnés trois "projets" d'Omer, dans une seule phrase. C'est parce que plusieurs de ces "projets" étaient solidement reliés entre eux.
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La Société historique de Hearst et de la Région a essayé de sauvegarder la gare de Hearst, d'empêcher sa démolition; malheureusement, sans succès: elle fut démolie en 1992.
Un an plus tard, en 1993, la Société historique de Hearst et de la Région ferme ses porte.
Le Centre d'archives de la Grande Zone argileuse, contient, dans ses nombreuses archives, de nombreau documents, dont plus de 1200 diapositives concernant la société historique de Hearst et de la région. J'ai utilisé la description des archives de la société historique pour m'aider à rédiger cette page. Nous avons plusieurs photos de la gare de Hearst, depuis sa construction, jusqu'à l'année de sa démolition. Le point focal de cet article est l'impact qu'Omer a eut sur la région de Hearst, et non la gare de Hearst. Voici deux photos de la gare, peu avant sa démolition, en 1992, des archives de La Fondation Omer Cantin. Pour garder notre point focal à la bonne place, nous n'avons inclue que deux photos de la gare, peu avant sa démolition, en 1992. |
Omer est un mordu, un passioné de l'histoire, du patrimoine nord-ontarien. A travers La Fondation Omer Cantin, il entreprend de préserver notre patrimoine nord ontarien.
Officiellement, La Fondation Omer Cantin a reçu ses papiers d'incorporation en 2007.
Ce projet de La Fondation Omer Cantin est donc en marche depuis plusieurs années.
En 2017, le journal Le Nord plubliait un article sur La Fondation Omer Cantin; nous avons incorporé une copie de cette article dans cette page. La Fondation Omer Cantin n'a pas encore été formellement accepté comme organisme de charité, mais c'est planifié. L'article de Sébastien Pierroz mentionné au début de cette page résume bien les buts de La Fondation Omer Cantin: Je trouvais que l'on avait perdu beaucoup au niveau agricole. Une génération complète ne connaissait rien à ce niveau-là. On voulait montrer que l'agriculture a tenu une place importante. L'idée est un peu de recréer une ferme du début du 20e siècle avec de la machinerie agricole sur ces fermes, pour montrer l'habileté et l'opiniâtreté de cette génération-là qui travaillait des longues heures tous les jours, avec des moyens que l'on n'a pas aujourd'hui, et qui réussissait à élever de grosses familles. (Omer Cantin, octobre 2020)
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Des mots d'Omer, sur la page Facebook de
La Fondation Omer Cantin:
Le but de la Fondation Omer Cantin est de préserver, protéger, sauvegarder et mettre en valeur, auprès du grand public, le patrimoine nord-ontarien. Pour réaliser sa mission, la Fondation Omer Cantin possède 150 acres de terrain doté d'une maison de ferme, d'une grange/étable, un hangar ainsi que d'un grand entrepôt où plusieurs artéfacts tous issus de notre région, sont entreposés. La Fondation possède un atelier réservé à la réparation des tracteurs Massey-Harris de sa collection. Je vous invite à aller visiter sa page Facebook, et la feuilletée. Vous remarquerez que l'un de ses projets est de remettre la maison d'Alphonsine, où il a grandi, à ce qu'elle ressemblait lorsqu'elle a été construite en 1947. Beaucoup de travail y a été fait. La page Facebook de La Fondation Omer Cantin documente certains de ses progrès.
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Il a aussi rénové la grange de la famille Cantin (d'Alphonsine, puis de son père), gardant son "cachet" historique, afin qu'elle soit debout plusieurs autres décénies. Il a amassé du matériel agricole du début de l'agriculture nord ontarienne, et possède un atelier pour réparer/restaurer les machineries d'antan. La maison original d'Ernest Cantin (garçon d'Alphonsine) a été démanagée où était jadis la maison de Catherine Villeneuve, maison que ses frères lui avait bâtie après le décès de son mari. Le but de La Fondation est de la remettre, tel qu'elle était lorsqu'elle a été construite en 1950. Vous y verrez aussi beaucoup d'information sur le patrimoine de la région. Il y couvre certains aspets des chantiers de bois (via les archives François Gratton), le déménagement de l'église de Bradlo au Lac Ste-Thérèse, de ses efforts de conservation/de l'éducation de l'industrie agricole de la région. Vous y verrez aussi quelques photos de la gare de Hearst, juste avant qu'elle ne soit démolie (ces même photos montrées dans cet article). Nous avons une copie du dépliant expliquant La Fondation Omer Cantin. En utilisant La Fondation Omer Cantin, Omer espère faire connaître le patrimoine nord ontario à plusieurs générations futures.
Quelques informations additionelles sur Omer
Chevalier de l'Ordre de la Pléiade de l'Assemblée parlementaire de la francophonie
Conseil des gouverneures et des gouverneurs de l'Université de HearstOmer a siégé comme membre du Conseil des gouverneures et des gouverneurs de l'Université de Hearst. Ce conseil d'administration est composé de la haute direction (rectorat, vice-rectorat), de représentants de diverses groupes (personnel de soutien, communauté étudiante, association des professeurs), et de personnes clées de la communauté. Son président est une personne respectée de la communauté. Le rôle principal du Conseil est de veiller au bien rendement de l'Université de Hearst. Il fut élu Vice-Président du Conseil des gouverneures et des gouverneurs en janvier 1997. Il fut parti du Conseil jusqu'en décembre 2009, donc pour treize (13) années. Pendant ce temps, comme membre du Conseil, il s'est assuré du fonctionnement efficace de la seule université de la région, et d'une des seules université en province offrant des programmes en français (ces renseignement mis-à-jour après que l'article fut affichée; merci à Fabien Hebert, président du Conseil des gouverneures et gouverneurs en (2022-), pour me fournir l'information, obtenue du bureau de la direction de l'université). En plus de ses servies au sein du Conseil des gouverneures et gouverneurs de l'Université de Hearst, Omer a participé à deux renouvellements de conventions collectives; pendant l'une d'entre elle, la convention fut complètement révisée. Membre du comité des griefs, il a activement participé à régler plusieurs cas difficile.
Sport
Patrimoine en bas âge
ConclusionA vous de juger l'impact qu'Omer a eut, et continue d'avoir sur la région de Hearst. |
claude@ccantin.ca, https://ccantin.ca.